Il y a quelques temps, j’ai voulu mettre mon sibérien à la course car je n’ai qu’un chien, et je n’ai pas les moyens techniques ou financier d’en avoir d’autres. Et faire de l’endurance sur 40, 60 ou 100km avec un seul chien, c’est possible, mais compliqué. Alors pourquoi pas le sprint ? Cette discipline du caniVTT ou Bikejoring pour les anglo-saxons qui consiste à faire de petites distances (6, 7, 8km) le plus rapidement possible. Une discipline ou la cohésion entre le cycliste et son chien est très importante, et ou le physique de l’un comme de l’autre doit être au top du top.
Je me suis donc dis, « C’est partit alors ?! »
Oui mais bon, entre les entraînements, l’alimentation, l’éducation du chien, lui apprendre à distinguer sa gauche de sa droite, le motiver et surtout faire en sorte que tout cela reste un jeu pour lui, j’avais besoin de conseils de la part d’une pro … j’aime bien les conseils de pro !
Alors voila, vous trouverez ci-dessous mes échanges mails que j’ai pu avoir avec Anne Fulleringer, caniVTTiste faisant partie de l’équipe de France qui ne compte plus les podiums.
- Par quoi commencer ?
- L’éducation
- Le départ
- Exemple de jeune chien qui fatigue vite
- Faire du fractionner ?
- Travailler la vitesse de pointe
- Combien d’entraînements par semaine ?
- L’alimentation
Le husky sibérien : Mon partenaire est un Husky Sibérien, peut être pas la meilleure race pour cette discipline du sprint, mais je ne peux avoir d’autres chiens, donc la faire tirer en endurance sur 50km toute seule, c’est pas son truc, donc je voudrai la mettre au sprint. Elle a tout pile 12 mois, et donc en terme d’entrainement (car a terme j’aimerai bien faire de la compétition) je ne sais pas trop comment m’y prendre et comment la faire travailler.
Anne Fulleringer : Avant de de débuter l’entrainement du chien il faudra passer par une phase d’apprentissage si cela n’est pas déjà le cas.
L’objectif ne sera alors pas la recherche de performance et le développement physique du chien mais l’apprentissage des ordres de base, la position devant le VTT et la traction …. Cela est primordial car c’est ce qui rendra l’activité plus sécurisante par la suite et plus plaisante pour le binôme.
L’éducation du chien peut commencer avant 12 mois, l’idée n’étant pas de solliciter le chien physiquement mais juste lui apprendre à tracter avec un harnais sur quelques centaines de mètre au début puis augmenter un peu par la suite, apprendre à faire des départs propre,développer la motivation du chien (le will to go), obtenir une traction franche ….
Durant cette phase on gardera toujours à l’esprit que le caniVTT doit rester un plaisir pour le chien, il faut que cette activité soit perçue comme un jeux, un moment de détente.
Il faut alors veiller à rester posé et calme, à être logique et claire dans ses demandes. Les séances seront suffisamment courtes pour que le chien puisse rester concentré et tout devra être fait pour éviter les situations d’échec.
Il est possible de se faire aider par une autre personne qui devance alors le chien ou se faire accompagner d’un autre binôme plus expérimenté en caniVTT.
Il faut éviter à tout prix les mauvaises expériences, surtout au début, et donc éviter les chutes en VTT qui pourraient laisser de mauvais souvenirs au chien (donc pas prendre trop de vitesse pour être certain de gérer son VTT quoi qu’il se passe), anticiper les directions afin de ne pas faire des directions « brouillon » mais toujours rester calme et posé et être cohérent dans ce qu’on demande au chien: un « NON » ferme si il se trompe et puis un « OUI » super heureux si il fait bien.
Si l’éducation n’est pas encore complètement acquise, en parallèle de l’éducation tu peux commencer à « entraîner » ton chien qui a déjà 12 mois puisque tu n’as pas forcement besoin d’un harnais pour entraîner un chien, il y a d’autres solutions pour réussir à lui faire gagner de l’endurance, de la force …
L’idéal sont les chiens qui ne sont pas fugueur car on profite de sortie en libre pour les entraîner: tu peux faire des sorties longues pour l’endurance, du jeux de balle en côte pour la force, de la nage l’été quand il fait trop chaud ….
Pour l’entrainement proprement dit si l’éducation c’est bien passé alors c’est déjà beaucoup plus simple sinon il faut revenir un peu en arrière et reprendre des bases en gardant toujours en tête ces principes:
- le caniVTT doit être un jeux pour le chien
- l’entrainement doit solliciter un peu le chien (sinon pas de progression) mais sans dégoûter le chien en le mettant à mal
- il faut varier les entraînements et les terrains d’entrainement pour que ça reste toujours super fun pour le chien
- il faut surtout y aller progressivement
- il faut rester un max posé et éviter les agacements (et on a vite fait de s’agacer parfois quand on est pas en phase avec son toutou)
- il vaut mieux faire court et bien que trop long. Il est préférable de s’arrêter sur une séance super qu’une séance trop longue qui se termine de manière assez « moyenne »
- si il commence à faire chaud on réduit fortement les séances ou on annule (il faut que le caniVTT reste un plaisir et un chien qui se prend un coup de chaud ou se met trop à mal ne gardera pas un bon souvenir de la séance, les séances d’après il y a de forte chance pour qu’il part un peu en sous-régime pour se protéger et ce n’est pas forcement l’objectif)
Le husky sibérien : Concernant l’éducation, dès toute petite je lui ai appris « assis/couchée,donne la patte » mais je ne pense pas que ce soit de cela que l’on parle 🙂
Anne Fulleringer : L’éducation c’est plein de chose: le rappel (c’est cool un chien qui ne se sauve pas et reviens au pied sur ordre pour pouvoir faire du libre après), rester calme assis, rapporter la balle (c’est cool les jeux de balle pour entraîner les chiens aussi), passer à plein d’endroit sans stresser (super utile par la suite), apprendre à se coucher (bien pratique quand on doit soigner un chien ou le masser) …. Mais aussi apprendre le droite, gauche, devant, stop, doucement.
Le husky sibérien : Donc en gros, et théoriquement (car j’ai bien compris que chaque chien est différent) comment se passe des séances d’éducation ? En sachant que le Husky Siberien n’est pas réputé pour être un super chien de confiance vis à vis du rappel … 😀
Apprendre à tracter sur de courtes distances (250m, 500m, 1km) ?
Anne Fulleringer : Oui au début il faut juste que le chien apprenne à se mettre dans le harnais sur 100 mètres (on peut faire un peu plus sur un chien qui a terminé sa croissance et réagit bien à l’exercice). Il faut faire court et surtout bien féliciter après pour renforcer le comportement positif du chien. Pour les chiens qui ne sont pas des pro de la traction on se mettra vraiment à faible allure en venant chercher la tension sur la longe et en félicitant beaucoup. En général le chien comprend assez vite. Bref il faut que ce soit fun pour le jeune chien, qu’il voit qu’on est content et il faut que ce soit vraiment court pour qu’il reste concentrer de À à Z et qu’il en redemande même.
Ça ne dure que quelques petites minutes une fois de temps en temps mais le chien doit adorer ça
Après on augment les distances et l’allure en fonction du chien
Le husky sibérien : Apprendre à faire un départ propre au son « GO » de ma voix ? Lui demander de s’asseoir et de ne pas bouger tant que je n’ai pas dis « GO » ? Ralentir quand je lui dis « DOUCEMENT » ? S’arrêter quand je dis « STOP » ? etc ..
Anne Fulleringer : Oui tout ces ordres font partie de l’éducation du jeune chien. Mais il faut dans tous les cas garder en tête que le chien doit avant tout prendre du plaisir, vouloir aller plus vite et en aucun cas on doit le saouler à essayer de lui faire apprendre à tout prix les ordres. Si on sent que le chien commence à s’ennuyer ou si il est moins dedans alors on fait un dernier exercice simple (style 5 mètres d’accélération sous forme de jeux) et puis on arrête l’exercice sur quelque chose de bien.
Le husky sibérien : Quand tu dis que les entrainement de cani VTT doivent être un jeu pour le chien, comment fais tu pour leur faire comprendre ça ? Et leur communiquer le sens du jeu ?
Anne Fulleringer : Depuis tout jeune j’essaye de faire en sorte que la traction soit marrante et fun pour lui.
Si le chien commence à fatiguer, à du mal à se concentrer: alors je fait un truc simple et marrant (style les accélérations je sais que mes chiens adorent) et puis j’arrête sur quelque chose de positif en les félicitant.
si il ne semble pas avoir envie d’aller courir un jour, si les conditions ne sont pas bonnes: alors je ne pars pas et préfère faire une séance plus ludique de préférence en libre
Le husky sibérien : Un exemple concret, la mienne quand elle n’a pas couru pendant quelques jours, que je la sors de sa caisse de la voiture, je l’attache à la longe du VTT, elle reste plutôt tranquille, je monte sur le vélo, je dis GO, et BIM là elle trace comme une folle pendant peut être 1km ou 1,5km, super propre, bonne trajectoire en plus, enfin bref ça vient pas de moi, car elle à toujours fait ça depuis que je l’ai mise au VTT, elle a ça dans le sang, mais je pense que dû à son jeune âge, elle fatigue vite.
Anne Fulleringer : Donc elle a envie et elle a déjà bien compris l’objectif de l’activité !
Juste pour faire une aparté sur la météo, personnellement au dessus de 18 ou 20 degrés les miens ne font que des séances au harnais très courtes voir rien du tout ou des entraînements en libre avec accès à l’eau en permanence.
On parle souvent de la température extérieur mais on oublie bien souvent que le chien est aussi très sensible à l’hygrométrie (ndlr : l’hygrométrie caractérise l’humidité de l’air). Il peut faire frais un jour mais avec une hygrométrie importante et le chien aura alors bien du mal à réguler sa température.
Quand il commence à faire un peu trop chaud (tout dépend du chien, de son age, sa race, l’énergie qu’il met dans l’activité…) on essaye d’entraîner les chiens tôt le matin, faire des séances très courtes de type fractionné avec accès à un point d’eau, bien hydrater le chien en amont …. Au bout d’un moment ces petites astuces ont quand même leur limites
Le husky sibérien : Sa fatigue (je sais pas si c’est de la fatigue ou du désintéressement) se traduit par plusieurs choses :
- elle ralentit (normal …)
- elle se désintéresse (je regarde à gauche, je regarde à droite, je saute sur le bas coté pour attraper les sauterelles)
- elle adopte un rythme de balade, toute queue debout etc …
Anne Fulleringer : Personnellement j’évite que mes chiens arrivent arrivent à ce stade à l’entrainement.
Si je sais qu’ils commencent à être moins à fond au bout de 6 minutes de courses alors je les entraîne sur un peu plus court et puis j’augmente après très progressivement les distances.
Je préfère mettre mon chien dans le dur en libre car il n’associe pas le harnais a quelque chose de dur au moins. En libre ils font la course entre eux et avec mon vélo du coup ils prennent plaisir à se mettre dans le dur. En harnais aussi ils se mettent dans le dur mais quand ils commencent à ralentir et se dissiper c’est qu’ils sont déjà allez trop loin dans l’effort.
Le travail en fractionné permet d’avoir un chien plus « dedans » sur des périodes plus courtes. Si tu fais 10 X 1’/1′ ça fait 10 minutes de travail effectif alors que peut être que ton chien n’aurait pas été en mesure d’effectuer plus de 7′ en consécutif: une manière d’augmenter la charge et de faire un travail de « qualité » au passage.
Le husky sibérien : Parfois elle cesse de tracter, c’est à dire que c’est très compliquer pour moi de la relancer en lui disant « GO GO GO », le seul moyen pour la relancer à courir au bout de 5km c’est de me placer à coter d’elle et d’accélérer, dans ce cas là elle sprint mais si je reste derrière elle restera en mode « balade »
Anne Fulleringer : Le harnais doit être synonyme de traction. Le risque lorsqu’on laisse le chien longe détendue c’est que ton chien prenne l’habitude de te laisser pédaler.
Si ton chien fatigue et relâche l’effort tu peux t’arrêter quelques minutes et repartir comme il faut ( le principe du fractionné)
Le husky sibérien : Penses tu que je devrai faire du fractionner ?
Anne Fulleringer : Perso je fais du fractionné effectivement. L’idée quand je fractionne c’est d’essayer de développer les qualités du chien.
Si tu pars courir 10km en continue alors tu vas adopter un petit rythme de croisière, si tu fais toujours ce même type d’exercice alors tu seras super fort pour avoir un petit rythme pépère mais tu seras incapable de pouvoir accélérer.
Chez le chien c’est un peu pareille: si tu fractionne alors ton chien sera dans un effort un peu plus soutenu pendant les phases d’effort et développera ainsi ses qualités. La phase de repos permet au chien de repartir sur une nouvelle phase d’effort dans de meilleurs conditions et donc de forcer d’avantage ou courir plus vite que si l’effort avait été continu.
L’idée quand tu fractionne c’est d’y aller progressivement et puis augmenter progressivement la charge de travail.
Bref le fractionné est une des choses que tu peux faire attelé avec un chien mais il y a bien des choses que l’on peut faire avec son toutou pour le faire progresser en gardant toujours en tête que la priorité doit rester le plaisir que prend le chien
(si t’as un toutou super fort, super rapide mais qu’il déteste le caniVTT t’en fera jamais rien et à l’inverse parfois il y a des chiens qui ne payent pas de mine qui ont un mental en or et qui déchirent tout…. le mental est super important)
Le husky sibérien : Comment améliorer sa vitesse de pointe ?
Anne Fulleringer : Le fractionné peut être pas mal pour bosser la vitesse, les autres exercices y contribuent également: c’est un tout.
Un chien rapide sans endurance sera au bout du rouleau au bout de quelques minutes, la preuve que toutes les qualités sont importantes
Et puis un chien rapide qui ne prend pas de plaisir en caniVTT ne fera probablement pas l’effort de courir vite donc encore et toujours le plaisir et le jeux
Une erreur à ne pas commettre c’est de vouloir tellement gagner en vitesse qu’on oublie que c’est un sport de traction avant tout. Si tu donne l’habitude à ton chien de bosser longe détendue il risque d’attendre après que tu pédale pour bouger ton VTT comme un grand …. (ça sent le vécu non??? lol )
Le husky sibérien : Combien d’entrainement par semaine dois je faire quand les températures permettent des semaines « intensives » ?
Anne Fulleringer : L’erreur serait de trop en faire avec à la clé le risque de dégoutter un peu ton chien voir de créer un surentraînement comme chez l’humain.
Il faut respecter des phases de repos pour permettre au chien de récupérer et progresser
En général on évite ainsi de faire plus de 3 jours d’entrainement.
On évite également d’enchaîner trop de jour de repos car le chien récupère mais après avoir récupéré il régresse un peu (le principe de la surcompensation)
Si tu t’entraîne pendant une semaine puis le laisse une semaine au repos derrière alors tu seras revenu un peu au point de départ, il faut donc une certaine régularité
Bref il faut trouver un juste milieu et faire toujours attention à l’état de son chien, son envie d’aller courir … si il semble un peu fatigué on rajoute un jour de repos. A l’inverse si on voit qu’il a bien récupéré de la séance précédente alors on enchaine sur la 2ème.
Perso j’adopte un peu toujours le même rythme:
- lundi repos: (en libre dans le jardin, sortie à pied)
- mardi 1ère séance
- mercredi 2ème séance en fonction de la période et de l’état du chien
- jeudi 3ème séance
- vendredi repos (en libre dans le jardin, sortie à pied)
- samedi et dimanche: course ou entrainement
(quand je parle d’entrainement ça peut être au harnais ou en libre et toujours avec des sollicitations différentes car il ne sert à rien d’enchaîner toujours le même type de séance et le chien à besoin de varier, de même pour toi)
Ah et puis une dernière chose 😉
Les binômes les plus rapides, ceux que beaucoup admirent ce sont de super chiens mais aussi de super sportifs.
On entend souvent les gens dire qu’il vont prendre des chiens de grandes lignées dans des objectifs de compétition mais certains oublient que sans entrainement de leur côté ils ne seront jamais que « moyen » …
Bref les gens ont vite fait de minimiser l’impact qu’a le sportif (ou moins sportif) sur le binôme
L’entraînement du chien c’est important mais l’entraînement du cycliste l’ait au moins tout autant
Le husky sibérien : Nous discutions avec un ami qui fait de l’endurance, sur de la mi ou longue distance, avec ses chiens (20,50,100km) de la manière de nourrir et hydrater nos chiens avant et après l’effort.
Nous sommes tous les deux en Royal Canin CC adulte (croquettes normales) + Royal Canin 4800 (croquettes riches pour chiens sportif).
Je nourris la mienne le soir au alentours de 19h30 au CC adulte tous le temps sauf les veilles d’entrainement ou je lui mets des 4800. Je l’hydrate avant et après entrainement avec de l’eau et quelques croquettes dedans pour la motiver à boire.
Mon ami me dis que la 4800 est plus pour la récupération, que je devrais la nourrir au CC tous le temps même les veilles d’entraînements et la nourrir au 4800 deux heures après entrainement pour une meilleure récupération.
Qu’en penses tu ? Et que est ton retour d’expérience à ce niveau là ? J’imagine qu’il y a une différence dans la façon de les nourrir si les chiens font de la course de fond ou du sprint ?
Anne Fulleringer : Je donne toujours la même croquette toute l’année et je varie juste les quantités en fonction de la charge d’entraînement, de la saison, de la forme physique de mes chiens…
Sur du sprint t’as moins de besoin en lipide qu’en longue distance car tu ne fonctionne pas sur de long efforts à intensité plutôt modéré (en bref de l’endurance) mais sur des efforts plutôt courts et plus violents …
Le seul truc que j’ai pu constater sur mes chiens c’est qu’une alimentation avec trop peu de protéine et/ou de qualité médiocre peut entraîner une anémie ( tous les chiens ne réagissent pas de la même manière. J’ai eu le soucis sur une de mes chiennes alors que les autres se contentaient très bien des croquettes de moins bonne qualité). Pour palier à ce problème du coup on s’est concentré essentiellement sur la teneur et la qualité des protéines et mes chiens qui tournaient en 30/20 se retrouve avec des croquettes sans céréales de marque Natura Plus bien plus riche en viande (le meilleur rapport qualité/prix que j’ai pu trouvé mais aucune vente en magasin, tout se passe par internet)
Depuis plus d’anémie et des analyses de sang régulières qui sont au TOP.
(La problématique est bien connu chez le lévrier visiblement après ça doit dépendre pas mal du chien, de son activité et de son métabolisme. Pour mes husky qui bossent moins et ont une activité plus cool en terme d’intensité je suis resté sur des croquettes plus basiques)
Pour la récupération on donne entre autre du dextrose/glucose/electrolytes/vitamine C juste après l’effort.
Sinon la récupération à base de marche juste après l’effort, réhydratation, massage si il y a des raideurs …. Bref du grand classique.
Concernant les croquettes ce sont les Natura +Ultra (ou Ultra Premium Direct, ce sont les mêmes marques sauf que l’une est d’avantage pour les particuliers alors que l’autres est plus réservé aux musher/éleveurs … car ils les vendent d’avantage par palette)
Je tiens à remercier chaleureusement Anne Fulleringer pour avoir répondu à toutes mes questions, et le tout, dans un délais super court 😉